jeudi 31 janvier 2013
Павел Фёдорович Челищев
"Portrait de Nicholas Magallanes", 1937
Je vous ai mis un lien sur le peintre russe Pavel Tchelitchew
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Je vous ai mis un lien sur le peintre russe Pavel Tchelitchew
Sivu
Ecoutez ça!
Sivu - Better Man Than He (Official Video)
Musique: http://youtu.be/_964dqQxQwY
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Pascal Vilcollet
"Filles du Calvaire" une série de peinture de ce jeune artiste parisien, Pascal Vilcollet
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Valeriia Radko
Tous les projets sur lesquels je travaille en ce moment tournent autour de l'idée de l'aliénation profonde de l'individu dans l'espace qui l'entoure. Avec ma courte étude "My Venus" et ma série "Reductio Ad Absurdum", je veux aussi soulever la question de la réalité de la réalité fantôme que nous tendons à créer pour nous extraire du monde réel. Pour la décrire, j'utilise le kitsch comme méthode la plus parlante et la plus compréhensible pour le spectateur contemporain.
Je n'ai pas trouvé le site de cette photographe qui vient d'Ukraine
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Signatures
Pour fêter l'année 2013, Signatures a réalisé, en collaboration avec StoryLab, une oeuvre numérique d’un genre nouveau intitulée "Des baisers pour 2013" mêlant photographies et poésie.
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1870-1871, Saint-Cloud - l'année terrible
1870-1871, c’est "l’année terrible" pour Saint-Cloud, qui voit disparaître à la fois son château ravagé par les flammes et ses maisons calcinées par les torches prussiennes. "On ne peut, sans l’avoir vu se faire l’idée d’un pareil désastre, et l’on devrait garder Saint-Cloud comme une Pompéi de la destruction" écrit Théophile Gautier en mars 1871 dans Tableaux de siège. Il ne reste plus rien aujourd’hui des stigmates de la guerre de 1870 à Saint-Cloud et la ville reconstruite, située sur la rive gauche de la Seine, est une agréable villégiature des environs de Paris, célèbre pour son cadre pittoresque et son parc, autrefois abritant la demeure séculaire des souverains de France. Le musée des Avelines, musée d’art et d’histoire de Saint-Cloud, propose de ré-ouvrir le grand livre de l’Histoire à cette page méconnue du Siège de Paris et expose pendant deux mois " Les ruines de Saint-Cloud". Photographies, gravures, cartes postales, vestiges et documents rarement exposés, appartenant au fonds du musée, présentent les ravages de cette guerre, du château incendié aux rues dévastées, des images impressionnantes qui nous interpellent et nous interrogent sur tout conflit.
Dans le cadre de la préparation de l’exposition dédiée aux ravages de la guerre franco-prussienne sur la ville de Saint-Cloud pendant le Siège de Paris, j’ai été interpellée par la reproduction d’une photographie d’Ernest Pignon-Ernest dans un ouvrage récemment édité sur l’artiste, écrit par Jérôme Gulon, et justement intitulé "le lieu et la formule". Cette photographie, qui est une trace de l’éphémère ouvrage qu’Ernest Pignon-Ernest a conçu en 1971 en hommage à la Semaine sanglante de 1871, symbolise l’universalité de l’homme qui combat pour la liberté et ses idées. J’ai pensé que ce gisant collé à l’infini dans différents lieux de Paris, des rues qui montent à la Butte-aux-Cailles aux abords du cimetière du Père Lachaise jusqu’aux marches du Sacré-Coeur, pouvait à son tour prendre place sur les marches de la rotonde du musée des Avelines.
Présenté en lien avec notre exposition, il est la mémoire des victimes des conflits, que ce soit ceux de la guerre contre l’ennemi prussien ou ceux de la guerre civile qui a fait suite au Siège de Paris, pendant la Commune. A voir du 31 janvier au 24 mars 2013
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Dans le cadre de la préparation de l’exposition dédiée aux ravages de la guerre franco-prussienne sur la ville de Saint-Cloud pendant le Siège de Paris, j’ai été interpellée par la reproduction d’une photographie d’Ernest Pignon-Ernest dans un ouvrage récemment édité sur l’artiste, écrit par Jérôme Gulon, et justement intitulé "le lieu et la formule". Cette photographie, qui est une trace de l’éphémère ouvrage qu’Ernest Pignon-Ernest a conçu en 1971 en hommage à la Semaine sanglante de 1871, symbolise l’universalité de l’homme qui combat pour la liberté et ses idées. J’ai pensé que ce gisant collé à l’infini dans différents lieux de Paris, des rues qui montent à la Butte-aux-Cailles aux abords du cimetière du Père Lachaise jusqu’aux marches du Sacré-Coeur, pouvait à son tour prendre place sur les marches de la rotonde du musée des Avelines.
Présenté en lien avec notre exposition, il est la mémoire des victimes des conflits, que ce soit ceux de la guerre contre l’ennemi prussien ou ceux de la guerre civile qui a fait suite au Siège de Paris, pendant la Commune. A voir du 31 janvier au 24 mars 2013
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Jorge Diego Etienne - Casa Bosques
"Segundo Objeto" pour Casa Bosques est une tasse recouverte de bois par Jorge Diego Etienne qui vient de Tampico au Mexique
Vidéo: http://vimeo.com/57821186
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Pour celui de l'éditeur, c'est ici: http://casabosques.net
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Vidéo: http://vimeo.com/57821186
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